本文是一篇法语论文代写,笔者认为国际交流翻译的特点是文本在特定的翻译过程中不同于其他类型的文本。这一过程主要涉及两个主体,一个是原文,另一个是译者。通过对这些文本的翻译研究,我们总结出三个特点:一是政治性强,二是中国文化特色鲜明。从译者的角度来看,译者的主体性在翻译过程中起着至关重要的作用,译者的顺应性也不时发生,以平衡读者阅读与忠实于原文政治内涵之间的矛盾,这是译者的第三个特征。
Chapitre I L’aperçu de la traduction pour la communication internationale
1.1 La communication internationale et sa traduction
1.1.1 La traduction du terme chinois « 外宣 »
La pratique de la traduction de « 外宣 » est née du travail de communication avec l’extérieur effectué par le gouvernement chinois au début de la Réforme et de l’Ouverture en 1978. Il s’agit d’une activité importante opérée dans la nouvelle période pour s’adapter à la tendance historique de l’ouverture au monde extérieur. Le but principal est de faire savoir au monde la Chine et de permettre à la Chine et au monde de se communiquer, afin de créer un environnement international favorable pour notre pays. « 外宣 » est un terme typiquement chinois qui existe rarement à l’étranger. Il est difficile de trouver directement un concept ou un mot correspondant dans les langues étrangères. Cela nous a causé une certaine difficulté dans la recherche et la pratique de « 外宣 ». Selon des recherches menées par des devanciers dans ce domaine depuis 1990, il existe plus de 50 versions anglaises de traduction du mot chinois « 外宣 », dont « propagande ». Cependant comme ce mot contient une certaine signification péjorative, parce que « parfois, le terme propagande est un peu trompeur. Lorsque nous entendons le mot propagande, il est probable que nous pensons à des dirigeants dominants et sournois, qui propagent une série de mensonges et d’intimidation, afin de manipuler ou de laver le cerveau d’un public »1, et il est ainsi facile d’apporter une couleur négative au travail de « 外宣 » de la Chine. Par conséquent, de nombreux traducteurs explorent activement de nouvelles traductions de ce terme chinois pendant des années. Comme dans le contexte chinois, le mot « 宣传 » n’a pas de sens dérogatoire, selon l’explication du dictionnaire Modern Chinese Dictionary, nous pouvons voir que ce mot signifie en fait « transmettre, annoncer et expliquer aux autres, pour leur faire y croire et suivre l’action »2, et selon laquelle ce processus est bien sûr graduel, basé sur des faits, et se veut acceptable.
1.2 La rétrospective des recherches sur la traduction pour la communication internationale chinoise
Les recherches sur la traduction pour la communication internationale chinoises ont commencé au début des années 1990, et ces dernières années, elle a progressivement attiré l’attention et l’intérêt des experts et des universitaires et a fait des progrès rapides, en particulier au cours des deux dernières décennies.1 Selon des études précédentes, des étudiants, des enseignants et des experts chinois ont écrit de plus en plus de mémoires et d’articles de revue dans ce domaine, et notre attention et nos recherches ont montré une tendance à la hausse, tant en quantité qu’en qualité. Ceci est étroitement lié à l’environnement de traduction actuel en Chine. M. Huang Youyi, qui était le directeur adjoint de China International Publishing Group, estime que la traduction du chinois en langues étrangères est actuellement un « thème indispensable ». Il a proposé une fois un principe de « Trois proches » en matière de la communication internationale, c’est-à-dire proche de la réalité du développement de la Chine, proche des besoins du public étranger sur les informations chinoises et proche des habitudes de pensée du public étranger, afin de bien traiter les difficultés et les problèmes durant la traduction pour la communication internationale. Cela oblige les traducteurs à tenir pleinement compte des différences culturelles, à se familiariser avec les coutumes étrangères et à s’efforcer de franchir le fossé culturel pour éviter de tomber dans le piège langagier.2 Avec le temps qui passe, lorsque le socialisme aux caractéristiques chinoises entre dans une nouvelle ère, la traduction sera également confrontée à de nouveaux changements et défis. Comment pouvons-nous mieux diffuser les politiques et les pensées chinoises dans la nouvelle époque et façonner ainsi l’image nationale de la Chine à l’échelle internationale ? Cela nous oblige à faire des efforts plus profonds à la fois en théorie et dans la pratique.
Chapitre II La pratique traduisante autour de la communication internationale
2.1 La comparaison entre la traduction littéraire et la traduction non littéraire
Dans le monde traductologique, l’étude de la traduction littéraire occupe la première place. Les études de traduction non littéraire ont longtemps été considérées comme le vassal de la traduction littéraire1, comme de simples activités de conversion linguistique. Il semble que cette activité n’a qu’à satisfaire aux critères de « fidélité » et d’« expressivité », mais le fait n’est pas si simple. Certaines personnes pensent que la traduction non littéraire est plus facile que la traduction littéraire, ce qui est un malentendu, car elle possède ses propres caractéristiques et difficultés.
Depuis les temps anciens, la traduction non littéraire a joué un rôle important dans la vie quotidienne et son rôle ne peut être sous-estimé. Par exemple, les agences de traduction installées dans les différentes dynasties chinoises se concentrent principalement sur la traduction de textes pratiques, la traduction de classiques chinois ou la traduction de l’astronomie, de la médecine et de la technologie occidentales. Dans la société actuelle, la traduction non littéraire a un éventail plus large, couvrant divers domaines de la vie sociale, tels que la politique, l’économie, le droit, la science, la technologie et la culture. Elle représente une proportion énorme dans l’ensemble de la traduction.
2.2 Les difficultés de la traduction pour la communication internationale
En effet, la traduction nous apporte beaucoup de problèmes au niveau linguistique. Georges Mounin, célèbre théoricien de la traduction français, a souligné qu’en plus des obstacles étroitement liés au langage, les environnements naturels et les civilisations différentes ont également causé des difficultés de traduction. Laissant de côté les deux derniers facteurs pendant un certain temps, en ce qui concerne le langage lui-même, il a mis la traduction dans un dilemme. Le chinois et le français appartiennent respectivement à la famille des langues sino-tibétaines et à la famille des langues indo-européennes, pour ces deux langues, il existe peu d’identité, mais beaucoup de différences. Par conséquent, lorsque nous parlons des difficultés qui apparaissent dans le processus de traduction, la première difficulté consiste en différences entre les deux langues totalement diverses. M. Cheng Zhenqiu, engagé dans la traduction depuis de nombreuses années, a participé à de nombreuses reprises à la traduction et à la révision de documents politiques des dirigeants chinois, qui possède une riche expérience dans ce domaine, et il a souligné que « la traduction devrait commencer à partir du texte original ... la traduction ne peut pas être séparée du texte original, et même un mot ne peut pas être pris à la légère et être lâché. »1 Au niveau linguistique, il a proposé de mener des recherches sur la traduction de documents politiques sous trois aspects : le lexique, la syntaxe et la rhétorique. Dans cette section, nous suivrons également l’itinéraire de recherche de M. Cheng pour tenter de découvrir des difficultés au niveau linguistique au cours de la traduction pour la communication internationale. Bien sûr, en plus des difficultés linguistiques, les difficultés causées par les différences culturelles entre les deux civilisations ne peuvent pas être ignorées quand même. Bien que la traduction de la littérature politique comme l’une des traductions non littéraires concerne moins de facteurs culturels, nous allons également analyser les facteurs en dehors de la linguistique dans cette section.
Chapitre III L’interprétation du rapport au 19e Congrès national du Parti communiste chinois .............. 61
3.1 La stratégie et la méthode de traduction ........................... 62
3.2 Les stratégies de traduction au niveau politique ....................... 64
Conclusion ................................... 97
Chapitre III L’interprétation du rapport au 19e Congrès national du Parti communiste chinois
3.1 La stratégie et la méthode de traduction
En ce qui concerne la stratégie, la méthode et la technique de traduction, il n’y a pas de définitions largement reconnues dans les milieux traductologiques. Et on les souvent confond sans distinction, ce qui conduit à de certaines confusions autour de ces trois termes sur leur définition et leur relation mutuelle. Pour Hans Peter Krings, linguiste allemand, la stratégie de traduction à ses yeux est considérée comme « des plans potentiellement conscients, activés par le traducteur pour résoudre des problèmes de traduction concrets, dans le cadre d’une tâche de traduction. »1 Selon les recherches du professeur Xiong Bing2, la stratégie de traduction est un ensemble de principes et de solutions adoptées pour atteindre un objectif de traduction spécifique dans les activités de traduction. La mise en œuvre d’une certaine stratégie de traduction s’incarne dans l’application de certaines méthodes de traduction, et l’application d’une méthode de traduction dépend d’une certaine stratégie de traduction. Et la technique de traduction signifie le savoir-faire, le procédé ou la compétence requis pour l’application spécifique d’une méthode de traduction. Les concepts de ces trois termes se restreignent à leur tour.
Holmes3 pense que la théorie de traduction a pour tâche d’expliquer et de prédire les phénomènes de traduction, et il s’agit d’un résumé descriptif plutôt que d’une exigence normative. Le traducteur peut donc choisir de prendre n’importe quelle stratégie de traduction pour l’appliquer au cours de la traduction. Selon les recherches de Huang Zhonglian et Li Yashu, « la stratégie de traduction désigne une description sur les deux principaux phénomènes de traduction, soit « 全 译 » (traduction complète) et « 变译 » (traduction de variation), et elle est également un résumé de l’art de traduction. »1 Cette description n’a pas pour objet d’imposer des règles au traducteur, mais vise à fournir au traducteur la liberté pour sélectionner la stratégie de traduction appropriée en fonction de la pratique de traduction spécifique.
Conclusion
La traduction sert d’un pont de communication entre différentes civilisations, qui comporte en effet de diverses formes, y compris la traduction pour la communication internationale, une forme de traduction spéciale transfrontalière, multilingue et interculturelle. À nos yeux, la traduction pour la communication internationale assume une grande responsabilité de répandre une énorme quantité d’informations et d’opinions sur la Chine dans le monde entier, mais malheureusement, cette importance n’apporte pas depuis longtemps un effet adéquat dans la pratique. Après le tour d’horizon que nous venons de faire sur le plan théorique et pratique sur la traduction pour la communication internationale, et avec l’appui d’une analyse du rapport au 19e Congrès national du PCC, nous pourrons enfin faire le point sur les questions que nous avons posées dans l’introduction.
Tout d’abord, la traduction pour la communication internationale se caractérise par le fait que le texte est différent des autres types de texte dans le processus de traduction spécifique. Ce processus implique principalement deux corps principaux, l’un est le texte original et l’autre le traducteur. En étudiant la traduction de tels textes, nous avons conclu trois caractéristiques : premièrement, la forte nature politique et deuxièmement, les caractéristiques culturelles chinoises qui sont très distinctives. Du point de vue du traducteur, nous pouvons constater que la subjectivité du traducteur joue un rôle primordial durant la traduction et que l’adaptation se produit de temps en temps, afin d’équilibrer la contradiction entre la lecture du public ciblé et la fidélité à la connotation politique du texte original, et ce qui constitue la troisième caractéristique.
参考文献(略)